Le cinéma allemand qui vibre

Le cinéma allemand qui vibre

Fitzcarraldo – de mélomane à mégalomane il n’y a qu’un bras de terre

Certains films sont marqués par le destin et la démesure… Pour Le Mécano de la Générale (1926), Buster Keaton fait construire un pont qu’il ne filme que quelques secondes avant de le dynamiter. Pour d’autres raisons, conditions météorologiques, maladie, substances ...
Le cinéma allemand qui vibre

Le trésor des montagnes bleues – Winnetou carte postale

Neuf mois après l'épisode précédent, Le trésor des montagnes bleues s’impose comme l’un des meilleurs opus de la saga Winnetou. Le film a d’ailleurs été récompensé par de nombreux prix, comme le Goldene Leinwand, prix décerné aux réussites commerciales ou ...
Le cinéma allemand qui vibre

Arboretum – Donnie Darko dans le Thuringe

Un arboretum est un jardin botanique dans lequel cohabitent différentes espèces de plantes. L’enjeu est d’analyser la croissance de chaque espèce... Durant les années 90, Erik et Sebastian sont deux adolescents qui vivent dans une petite ville de l’ex-Allemagne de ...
Le cinéma allemand qui vibre

Nosferatu, fantôme de la nuit – humanité aux abois

Avec Nosferatu, fantôme de la nuit, Werner Herzog concrétise le remake de l’un des films les plus importants du cinéma allemand. Appuyé par un casting exceptionnel (Klaus Kinski, Isabelle Adjani, Roland Topor, Bruno Ganz), le réalisateur de Aguirre, la colère ...
Le cinéma allemand qui vibre

Le Ciel rouge – doux et amer

Après Ondine (2020), Le Ciel rouge est le second volet d’une trilogie dédiée au romantisme allemand. Vague à l'âme, langueur, introspection et recherche de l’unité intérieure se confrontent à la dure réalité d’un monde malade, symbolisé par un feu de ...
Le cinéma allemand qui vibre

The Last Berliner : À bas les promoteurs immobiliers !

Le cinéma sert parfois d’expiation. En ce moment, c’est la gentrification qui semble peser sur le cœur, au point que le sujet se retrouve au centre de plusieurs films. Certains, comme Next Door (2021), font leur mea culpa avec sincérité ...
Le cinéma allemand qui vibre

L’Énigme du serpent noir (1963) – Réjouissant déjà-vu

Si l’on comparait les adaptations d’Edgar Wallace avec le matériau d’origine, on se rendrait probablement compte que ce qui fait le charme du genre initié outre-Rhin à la fin des années 50, c’est qu’il s’intéresse plus aux jeux de dupe ...
Le cinéma allemand qui vibre

Le Trésor du lac d’argent – la création du mythe Winnetou

Réalisé par Harald Reinl en 1962, Le Trésor du lac d’argent a été un tel succès en salle lors de sa sortie en Allemagne que les producteurs ont saisi l’occasion pour initier une franchise entièrement consacrée au personnage de Winnetou ...
Le cinéma allemand qui vibre

Cœur de pierre (1950) – le vrai bonheur se cache dans votre cœur

En 1946, les Soviétiques décident de créer un outil pour dénazifier la RDA, la DEFA. Au final, la DEFA produira 850 films entre 1946 et 1990. Parmi eux, Cœur de pierre, réalisé par Paul Verhoeven. Paul Verhoeven, réalisateur homonyme du ...
Le cinéma allemand qui vibre

La Conférence – un téléfilm pour ne pas oublier

Pas facile de représenter la Seconde Guerre mondiale au cinéma. On se rappelle de La liste de Schindler qui proposait, dans l’horreur, de s’identifier à un personnage positif. Pour La conférence, cette solution est impossible car aucun des protagonistes n’est ...
Le cinéma allemand qui vibre

Rheingold – du ghetto au sommet des charts

Rheingold, c’est tout d’abord l’un des mystères les plus incroyables de l'histoire criminelle allemande… En décembre 2009, plusieurs complices déguisés en policiers attaquent un convoi transportant de l'or. Sans user de violence, en abusant simplement de la crédulité des convoyeurs ...
Le cinéma allemand qui vibre

Nekromantik 2 (1991) – le point de vue féminin

L’ombre de la plus célèbres des nécrophiles, Karen Grenlee, plane au-dessus de Nekromantik 2, comme l’atteste le croquis qu'elle a dessiné et qu'on entraperçoit négligemment accroché au mur lorsque Monika fait l’amour avec le cadavre de Robert... En 1979, la ...
Le cinéma allemand qui vibre

La Ville dorée (1942) – Pas de pitié pour qui trahit sa patrie

Qui trahit la patrie doit en payer le prix ! Le réalisateur Veit Harlan, qui connaît son heure de gloire durant la période nazie, l’a bien compris. En conséquence, il réserve à Anna, l’héroïne de La Ville dorée, un sort ...
Le cinéma allemand qui vibre

Nekromantik – Art et essai grotesque

Lorsque Nekromantik paraît en 1988, le film de Jörg Buttgereut est immédiatement classé parmi les œuvres dont la vision est difficile à soutenir, au même titre qu’un Massacre à la Tronçonneuse. Nekromantik était effectivement une sacrée épreuve ! Aujourd’hui, la ...
Le cinéma allemand qui vibre

Le Sang du pélican – instinct maternel et sorcière

Les hommes n’ont pas toujours la solution, les femmes ne sont pas toujours passives, les enfants ne sont pas toujours adorables, les films d’auteurs ne sont pas toujours ennuyeux, les films de genre ne sont pas toujours superficiels... Wiebke exerce ...
Le cinéma allemand qui vibre

Kokon (2020) – Devenir un beau papillon et quitter son bocal

Kokon est un film qui invite au dialogue et non pas à la polémique. Une réussite lorsque l’on sait que le petit chef-d’œuvre de Leonie Krippendorff s’attaque à un sujet très controversé comme la performativité du genre. Bienvenue dans un ...
Le cinéma allemand qui vibre

Dans la forêt vierge après cinq heures – jeunesse indomptable

Anna a 17 ans ; ça se fête. Elle invite ses amis mais la petite sauterie ne se passe pas comme prévu… Les parents doivent écourter leur séjour et découvrent le salon transformé en champ de bataille. S’ensuit une dispute, Anna ...
Le cinéma allemand qui vibre

Hillbilly Holocaust – german splatter not dead

À la fin des années 80, le gore sombre et sordide à la Evil Dead ou façon Lucio Fulci a fait son temps. Au point où Peter Jackson porte le coup fatal en 1987 avec son désopilant Bad Taste. Dans ...
Le cinéma allemand qui vibre

Le Mort dans le filet : pionnier de la sexploitation

En 1962, la RFA démontrait qu’elle était capable de produire des westerns à l’américaine avec Le Trésor du lac d'argent, premier épisode de la franchise Winnetou. Ce que l’on sait moins, c’est que deux années auparavant, l’Allemagne avait également mis ...
Le cinéma allemand qui vibre

Plus il y a de va-t-en-guerre, plus elle est absurde : Le Pont (1959)

Après la guerre, le cinéma allemand avait bien du mal à se positionner, enfantant des œuvres manichéennes opposant le bon peuple allemand et les méchants, à savoir les états-majors. Ce simplisme apaisait les mauvaises consciences mais empêchait l’introspection et la ...

Campagne de don pour Thrillerallee

Si vous le souhaitez, vous pouvez soutenir notre site dédié au cinéma allemand qui vibre en nous offrant quelques euros.
Ça nous ferait très plaisir :-)